Aujourd’hui, vu de la pseudojeep franchissant le pont (submersible) de Dions (au sud-ouest d’Uzès), le Gardon ressemblait à ça :

Gardon_1.jpg

Vu des abords, un utile avertissement ne freina pas notre entreprise :

Gardon_2.jpg

Vu de dedans, c’était comme ça :

Gardon_3.jpg

Et vu du fond, ça donnait ça (au bout de la flèche, une des trois dépouilles de poisson rencontrées, la plus grosse, dont subsistait, après que nos amis les bêtes se soient servies, environ 50 cm de long, par 15 de diamètre) :

Gardon_4.jpg

Plus en aval, au pont de Collias, il y avait curieusement un peu d’eau, bien que le Bourdic aussi fût à sec et que l’Alzon débouchât au-delà :

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Continuant vers l’aval, voici le Gardon au Pont du Gard ; on pouvait compter toutes les pierres à ricochet entre la rive et l’ile :

Gardon_6.jpg

Il faudra prochainement équiper les canoës de roues :

Gardon_7.jpg

Vu du pont de Remoulins, la digue était à moitié sèche (les parties plus claires) :

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Et, en se penchant par-dessus le garde-corps bleu turquoise du pont, on pouvait faire des photos dans le style instagramatique de m_de_clav :

Gardon_9.jpg

Bises.


d.

P.S. : J'apprends, par l'excellent hebdomadaire "La Gazette de Nîmes" dans un de ses numéros de juillet 2017 (que je n'ai pas conservé), que le Gardon disparaît sous terre en été sur environ 14 km, entre Dions et Collias. Surprenant, n'est-il pas ?